Thomas Hervet donne de ses nouvelles

Voilà une plume qui va sévir dans INS/MV – Génération Perdue- où il signe deux séries de nouvelles, pile dans l’atmosphère et l’esprit que nous souhaitions apporter à cette nouvelle édition.

 

Il s’agit de Thomas Hervet, qui a aussi fait « la Bifle » que vous avez lu dans Zepitch et dans Casus Belli.

 

Février 1991, le petit Thomas a 11 ans et découvre le jeu de rôle. Deux semaines plus tard, il rêve d’écrire pour Croc.

 

Cette vague créature semi-fongoïde se passionne rapidement pour l’Histoire, le fantastique et, au final toute forme de littérature. Avec une nette préférence pour les auteurs déjantés, de partout, d’hier, d’aujourd’hui. Et de demain, puisqu’il espère en être.

 

Il commet ses premières nouvelles à 13 ans, son premier roman à 17 et le voit publié à 21 (« Jours de Colère », Editions Nestiveqnen – rien à avoir avec le rassemblement de fachos). Suite à un crash universitaire en bonne et due forme (le co-pilote était bourré et dépressif), il atterrit en 2003 chez Asmodée. Il y est toujours et y travaille la plupart du temps.

 

Il adore l’encre, dans la peau, dans des bouquins, pratique toujours le jeu de rôle, milite à petite échelle pour la cause animale, fait du cheval, peaufine son fédéralisme anti-autoritariste, vient donc de réaliser son plus vieux rêve, cultive sa démence légère et a compris récemment qu’il était plus qu’un demi-champignon, mais pas tout à fait un composé organique.

 

Il revient lentement à la publication (« INS », « Abyss, l’univers », un roman, on l’espère, bientôt. On vous tiendra au courant).

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