Ce que contient cette nouvelle édition d’INS/MV

 

CROC lève une partie du voile sur ce que contient cette nouvelle édition. Petit jeu de questions-réponses avec l’auteur.

 

 

 

 

–          Alors, d’où te vient cette envie de nouvelle version d’INS/MV ? C’est quoi le pitch ?

 

Alors à la base l’idée était de se faire plaisir avec une version toute simple, avec un background plus réduit. Alors pourquoi réduit ? Parce que tout va plus vite maintenant et que les gens veulent désormais un plaisir plus immédiat. Donc faut moins lire et plus jouer. INS/MV n’est pas un jeu qui se regarde écrire, il est juste là pour vous faire jouer. L’autre idée c’était de tout casser sans rien casser.

 

–          Mais ça se matérialise comment ? Sur le système de jeu par exemple ?

 

Pour le système de jeu, j’ai opéré comme suit : virer tout ce qui me faisait chier et ne pas ouvrir un seul ancien bouquin. Tout faire de tête. Et comme je ne me souvenais de rien, ça a donné un truc bizarre. Le feeling de INS/MV est là mais un technicien n’y retrouvera pas ses petits. Vous pourrez jouer un personnage qui vous rappelle quelqu’un… Mais il n’aura pas les mêmes pouvoirs, c’est obligatoire puisque tout a changé. Faut dire aussi que je déteste les joueurs qui se trimballent avec les mêmes personnages pendant 10 ans. Le changement, c’est maintenant !

 

– Et niveau background ? T’as tout pété aussi ?

 

Je trouvais aussi le carcan des anciennes éditions avec la hiérarchie un peu gonflant à la longue. Alors oui, cela permettait que les parties ne partent pas en vrille mais ça me faisait chier. Alors tout a sauté. Et pour maintenir l’ordre, désormais, il y a le camp d’en face. Ca devrait suffire…

Pour le background j’ai tout zappé… Mais en fait non. Tout a disparu, terminé envolé mais tout existe encore. Donc les nouveaux joueurs n’ont rien besoin de savoir et les anciens peuvent apprendre le passé aux jeunes avec les scénarios, les PNJs anciens et autres joyeusetés.

 

– Mais, mais, mais… Comment ça « tout a disparu » ? Et les Archanges, les Princes-Démons, Le Grand Jeu ?

 

On va me dire : « il ne reste plus que 8 princes et 8 archanges ». Corollaire de ça : j’ai pu mon supérieur. Alors déjà : IL N’Y A PLUS DE SUPERIEUR. Une fois cela dit, j’ai gardé des « matrices » personnages qui ont vraiment du sens dans le monde détruit dans lequel les joueurs sont plongés. C’est un peu comme un film de zombie. Les survivants sont rares (les joueurs), il n’y a plus ni police, ni électricité, ni pompiers (plus de supérieurs, de QG, etc.) et les ennemis sont très nombreux et peu puissants (les humains) mais au final ce sont les autres survivants qui vont vous tuer (le camp d’en face). Dans ce cadre là, qui voudrait jouer un boulanger (Haagenti), un clown (Kobal) ou un bibliothécaire (Yves). Je grossis le trait mais c’est l’idée !

 

– Ok, mais on va faire quoi ?

 

Pour faire dans le sérieux aussi, il en faut, le jeu se recentre sur du franco-français-franchouillard. Parce que si on commence à bouger à l’international (comme dirait Tal), on ne se retrouve pas avec un combat contre les anges et les démons mais entre la purée muslim (on fait un trou, pour mettre du sang de mécréant dedans) contre le reste du monde. Et alors une décapitation ça va, mais à longueur de semaine ça me gonfle. Alors tant que les cons n’auront pas calmé le jeu, on se contentera de bourrer à Cabourg ou de braquer une banque à Arnac-La-Poste dans le limousin. Sans parler de se faire épiler à Villedieu les Poëles.

 

Le leitmotiv de cette édition c’est : on se fait pas chier, on joue c’est tout.

 

– Bon, mais cela va devenir un peu chaud pour ces nouveaux personnages lâchés dans la nature ? Heureusement, ils restent puissants… hein ?

 

Ah, il y a aussi une nouveauté, c’est le fait qu’un personnage puisse être sur la plage arrière (l’être surnaturel dirige bien évidemment son corps d’accueil mais il garde une forte propension à agir comme un humain) ou au volant (l’être divin reprend le contrôle et dispose de tous ses pouvoirs car il est situation de danger). Alors la première raison de cette nouvelle donnée c’est que pour moi, le plus vilain accessoire de décoration au monde (ever) c’est le petit chien en peluche qui tourne la tête quand on braque un peu fort. Pour dire je préfère porter un T-shirt de Black M. Mais sinon c’est aussi et surtout un tout nouveau moyen pour éviter que le moindre scénario se transformer en 5 minutes en combat entre Hulk et Iron Man à l’île o’crèpes de Guyancourt. Là, on divise vraiment les phases d’enquête des phases de baston et ça peut permettre au MJ de contenir les plus nerveux tout en laissant aux joueurs les plus fins de quoi se marrer un bon coup, un peu comme les armes dieux et le porteur dans Bloodlust…

 

–          Y’a aussi une histoire de cartes dans cette nouvelle édition ? C’est quoi ?

 

Alors les cartes ce sont l’équivalent des hauts faits de WoW ou des succès de la XBOX. En fait quand le joueur va réaliser des « trucs », bons ou mauvais, le MJ va lui donner une carte. Même si c’est un truc positif, c’est toujours un truc en marge de la trame principale du scénario (pour récompenser la réussite du scénario, il y a toujours les récompenses habituelles qui font progresser le personnage). Les cartes sont données au joueur et pas au personnage et sont utilisables n’importe quand, dans un scénario suivant. Des fois c’est un bonus, des fois c’est un malus (dans ce cas, c’est le MJ qui chope la carte). Bon là comme ça, vous êtes un peu dans le flou, c’est normal. Vous verrez dans vos parties !

Un auteur impliqué : un point sur les stretch goals

On ne peut pas dire que CROC soit un auteur « tiède ». Non content de donner le jour à une nouvelle version de son jeu, CROC s’investit corps et âme dans sa souscription. Et quand je dis « corps et âmes » ce n’est pas au sens figuré, mais bien  au sens propre. En effet, CROC a décidé de motiver ses fans en réalisant quelques actions d’éclat en guise de stretch goals.

 

 

 

Ainsi, la réalisation de paliers de la souscription permettra de débloquer des bonus, mais aussi d’avoir la joie de voir CROC faire des prouesses, qui seront filmées et mises sur le net. En voici la liste :

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– la moitié du premier palier : CROC mange une salade d’endives. Oui forcément dis comme ça, c’est pas trés spectaculaire… Mais l’endive est le légume que CROC déteste le plus au monde. Attendez-vous à des grognements et des grimaces.

– premier palier réalisé (le projet est financé) : CROC mange des insectes. Ouais, là, on commence à être un peu plus sérieux.

– deuxième palier (le premier bonus est débloqué) : CROC fait un ice-bucket challenge avec du chocolat au lait.

– troisième palier (le deuxième bonus est débloqué) : CROC se jette dans un truc dégueulasse en vélo. Le truc dégueulasse étant le lac de guyancourt… Les connaisseurs apprécieront. En prime, c’est une cascade.
Si d’aventure on dépassait le troisième palier, n’ayez pas d’inquiétude : CROC trouvera bien une autre action spectaculaire pour motiver les gens à franchir un palier supplémentaire.

 

Mais c’est pas fini comme on dit en téléphonie.
Parmi les packs de la souscription à INS/MV,  vous pourrez, en prime du jeu, vous offrir un CROC. Je parle du vrai CROC en chair et en barbe. Un CROC thématisé.

Ainsi, vous pourrez souscrire à un pack où CROC vient chez vous vous livrer votre pack d’INS/MV…et faire un partie de Toutourista ou d’Advanced Squad Leader, déguster un gratin de pâtes préparé CROC ou avoir le plaisir (pervers ?) de le voir passer l’aspirateur chez vous déguisé en wookie (oui, vous avez bien lu).

Enfin CROC peut aussi venir chez vous pour vous faire jouer à INS/MV… Mais ça, ça vaut trés cher. La dernière fois qu’il l’a fait dans de circonstances similaires, c’était pour collecter des fonds pour des orphelinats Maliens, lors de l’Asmoday de 2011. Cela vaut le coup de se regrouper !

 

Si c’est pas l’engagement ultime d’un auteur…

En léger différé, notre direct live…

Bon, Croc était en visite chez Philibert, à Strasbourg, il y a peu, pour y présenter le dernier opus des Space Cow-boys : Black Fleet.

Et, ces petits malins de Philibert en ont profité pour lui mettre une caméra et un micro sous le nez. Il n’en fallait pas plus à l’homme pour causer d’INS/MV et de Raise Dead. Il y révèle aussi un scoop : le JdR qui suivra si le projet INS/MV est un succès…

 

le reportage de Philibert c’est ici.

 

… Et si vous avez la flemme de regarder (c’est dommage vous allez louper une explication de Black Fleet et les projets des Space Cow-boys) le jeu suivant (sur lequel nous travaillons déjà) sera : Bitume !

 

Ah ! Une dernière chose ! Cette semaine, c’est la sortie de Furor Sanguinis, la nouvelle extension de Claustrophobia, le dungeon crawling de Croc dans l’univers d’Hell Dorado. En plein Halloween, combattre du démon sous terre, ça ne se refuse pas !

Le logo d’INS/MV

La semaine dernière, nous vous avons présenté Stéphane Gantiez, en charge de la couverture et de la charte graphique. Aujourd’hui, on vous dévoile une (petite) partie de son travail : le logo d’INS/MV pour cette nouvelle édition.  Oui, c’est un peu anecdotique mais c’est un apéritif pour la couverture du livre de règles.

 

 

Stéphane Gantiez en couverture !

Mais non, Monsieur Gantiez n’est pas un fou de la gâchette.. plutôt un fou du crayon. Connu pour son travail sur les jeux de société (Claustrophobia, Texas Zombies, Koriyo, Choson…) Stéphane (a.k.a Lodin) est aussi un amoureux des jeux de rôles auxquels il a souvent apporté son talent d’illustrateur. On peut ainsi citer COPS, mais aussi Fantasy Craft, Black Crusade ou Dark Heresy. Ce touche à tout du design est aussi à l’aise dans la création de plateau de jeu (Evo, Claustrophobia) que dans le concept de figurine (Gilles de Rais pour Hell Dorado par exemple).

 

C’est avec joie que Raise Dead a confié la réalisation de la couverture du livre de règles et la charte graphique d’INS/MV à Stéphane. Et on a hâte de vous montrer ses oeuvres !

Pour connaitre une partie de la liste de ses méfaits, il y a sa bio dans le grog.

Il y a aussi une petite interview du bonhomme lors de la sortie de Claustrophobia.

Swal revient sur le lieu de ses forfaits…

… Le dessinateur « canal historique » d’INS/MV remet le couvert avec cette nouvelle édition. Et nous ne sommes pas peu fiers qu’il ait accepté ! Oui madame ! Christophe Swal lui-même. Pour ceux qui étaient sur Mars durant les dix dernières années un petit « refresh » de la carrière du monsieur.

Illustrateur indépendant depuis 2000, Christophe Swal a commencé dans le fanzinat rôliste en 1991 (Atmosphères, Tinkle Bavard, Le Grimoire, Franc-Rêveur…). Depuis, il vogue entre les jeux de rôles (INS/MV et COPS donc, mais aussi Le Trône de Fer, Wasteland, Mournblade, Bloodlust Metal, Metal Adventures…), les jeux de société (Elixir, Le Roi des Nains, Home Sweet Home, Artifact, Braverats et dernièrement Animal Suspect), la presse jeunesse (Dragon Blanc) et la BD (Dans le Ventre du Dragon chez Glénat avec Mathieu Gabella au scénario – en cours). Tout à la fois éclectique , curieux et drôle, Swal passe du sérieux obscur au drolatique espiègle (voire au drolatique obscure) en un coup de crayon. Exactement ce qu’il faut à INS/MV ! Et vous aurez bientôt le plaisir de le découvrir ici même.
une image volée dans l'atelier de Christophe Swal.
une image volée dans l’atelier de Christophe Swal.
Si vous voulez connaître ses états de service rôlistiques, allez sur sa fiche du Grog (cliquez ici). Cela laisse pantois !
Info de dernière minute :  Swal sera présent ce samedi 4 octobre à la Convention Octôgones à Villeurbanne, sur le stand du Carnoplaste.

Contrôle d’identités !

Vous vous demandez sûrement « mais c’est qui ces gars de Raise Dead Editions ? ». Bon, il est temps pour nous de faire notre coming out et de vous dire qui bosse sur le projet INS/MV.

 

Déjà y’a une star : CROC alias CROC.

 

Il est né entre l’an 4 après Claude François et 5 avant Pompidou (grosso-modo). Il est éleveur de reptiles et de jeux drôles. Il compte à son actif Bitume, Animonde, In Nomine Satanis/Magna Veritas, Heavy Metal, Bloodlust, Scales, Nightprowler, COPS. Il a commis aussi des jeux de plateaux comme Gore, l’Age des Dieux, Claustrophobia. Un jeu de cartes à collectionner aussi : Intervention Divine. On lui doit également un jeu de figurines : Helldorado. Et une recette de gratin de pâtes. Il n’aime pas le fromage. Il est actuellement chez les Space Cowboys où il cultive des Spiels des Jahres.

 

Y’a un patron : Jean-François Beney alias Jeff

 

jeffIl est né au printemps après une année érotique (ça aide pour la natalité). Il est réputé pour ses blagues et ses mini-nems aux crevettes. Il a participé à l’écriture de nombreux Roleplaying Games de la star précédemment citée depuis l’an de grâce 1994 (putain 20 ans!!) : Bloodlust, Scales, In Nomine Satanis/Magna Veritas, Bitume, Nightprowler, COPS. Il a dérapé dans Toon VF (In nomine toonis), Shadowrun France… et plein de numéros de Plasma (le magasine avec un S). Il a co-écrit deux romans de Bloodlust et fait le zouave dans l’émission de TV du Web sur le JDR : 2D+3 sur Canalweb. Il s’occupe maintenant de la communication web et print d’Asmodee.

 

Y’a une tronche : François Doucet alias Doc Doucet

 

françoisIl est né avant wikipédia. Il est connu pour répondre à toutes les questions (même celles qui ont pour réponse 42). Ce champion de Diplomacy, fin connaisseur de Ouargames, ancien de Jeux Descartes, a collaboré à Casus Belli (première formule) et a traduit des JDR. Aujourd’hui, il crash-test des règles de jeu avec un sadisme certain. C’est pourquoi on lui confie les tests de nos jeux de rôles. Il donne également des cours de dialectique ludique comparé au sein des Space Cowboys.

 

Y’a un fixer : Jim Gaudin alias Jungle Jim.

 

jimIl est né roux… et il l’est resté. Après de nombreuses années à vendre des ouvrages satanico-rôlistiques aux côtés du Doc Doucet dans une crèmerie ludique , il a écrit dans JSP (Jeux Sur un Plateau) avant de rejoindre Asmodee (où il a occupé de multiples postes : vendeur, animateur, chef de projet, chauffeur de maître, passe-­plat et gogo­dancer)… Et aujourd’hui il fait du Game Design chez Ubisoft (ça en jette). Grâce à son bagout et à l’internationale de rouquins, il a acquis un carnet de relations digne du bottin du 78… Alors on lui a confié la fabrication. En revanche ne lui donnez pas de meubles IKEA à monter… Nan, vraiment pas.

 

Il y a également une myriade d’autres talents que nous surnommons le Graveyard Gang. Mais nous vous les présenterons une autre fois.

portrait : Valp rejoint le projet INS/MV

Nous inaugurons une rubrique pour vous présenter les gens qui participent à notre projet sur INS/MV, par une jeune femme. Une illustratrice de talent. Valentine Pasche alias Valp.

Valentine Pasche alias Valp
Valentine Pasche alias Valp

 

Certains d’entre vous la connaissent déjà pour ses séries de BD : Lock (éditions Paquet) et Ashrel (éditions Delcourt).

 

Cette artiste suisse est à la fois dessinatrice, scénariste, coloriste… Mais aussi une rôliste ! Et une fan d’INS/MV qui plus est !

 

Autant de raisons pour Raise Dead Editions de travailler avec Valp.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore le trait et le style de Valentine, nous vous conseillons de faire un tour sur son facebook ou sur instagram.

 

Et pour vous faire saliver, voici une première illustration de Valp pour cette nouvelle édition de INS/MV. Enjoy !

 

un dessin de Valp
un dessin de Valp

 

Devoirs de vacances

Voilà, les vacances c’est fini ! Sauf pour CROC… Pour lui, ça commence. Pourquoi ? Parce qu’il vient de finir d’écrire la nouvelle version d’INS/MV. Il l’avait promis. « Le 31 août, j’aurai fini d’écrire ». Et c’est fait ! Avec deux jours d’avance même ! Ce premier jet est maintenant en relecture et peaufinage. En attendant de mettre une dernière main à  son nouvel opus, CROC goûte un bref repos rôlistique bien mérité. Certains l’aurait vu jouer à ASL tout en peignant des figurines de Warmachine… Mais si vous approchez de son manuscrit, il lâche les pions et les pinceaux pour vous sauter à la gorge. Personne n’y touche avant que tout soit parfait ! Personne ! Il Faut savoir que CROC bosse sur le projet depuis quelques années. Plusieurs versions insatisfaisantes pour l’auteur sont déjà parties rejoindre le cimetière numérique de son PC. Alors autant vous dire que nous sommes est trés trés contents que CROC estime que cette version mérite de ne pas suivre le chemin de la poubelle. Mais pas question de vous en dire plus pour l’instant. Patience. Patience.

faut pas vous approcher du manuscrit on vous dit !

Et c’est au reste de l’équipe de Raise Dead de travailler désormais : brief des illustrateurs, demandes de devis aux imprimeurs, mise au point du site… La machine se met en route… Doucement. Bon pour l’instant, vu de l’extérieur cela ressemble à un encéphalogramme plat… Mais à l’intérieur, c’est un joyeux bordel frénétique. On va tenter de vous tenir informé de chaque avancé, de vous présenter tous les acteurs de ce projet, de vous montrer le jeu. Mais il falloir être patient, car l’édition d’un jeu de rôle est un marathon, pas un sprint.

Pour commencer, la semaine prochaine, nous lèverons le voile sur un des illustrateurs, avec un joli dessin en prime. Allez ! Un peu de patience.

Une fée avec une barbe et un t-shirt de heavy metal !

Nous sommes heureux de vous annoncer la naissance de Raise Dead Editions, sous le haut parrainage de CROC.

L’heureux parrain de Raise Dead Editions est également l’auteur principal de cette nouvelle maison d’édition de jeux de rôles, puisqu’elle va se charger de faire revivre ses anciens succès rôlistiques.

Premier des titres de CROC à faire l’objet d’une nouvelle édition : In Nomine Satanis / Magna Veritas ! Mais nous ne pouvons vous en dire plus pour l’instant. L’auteur travaille… l’œuvre est en route. En coulisses, Raise Dead Editions réanime ses contacts, exhume des anciens collaborateurs perdus outre-tombe et envoûte de jeunes talents prêts à venir  prêter main forte au projet. Car la tâche est grande. En effet, il faut que ce premier projet soit un franc succès pour que nous envisagions de rééditer tous les autres jeux de rôles de CROC disparus jusqu’à présent.

Et puis, qui sait, peut-être qu’un jour, Raise Dead Editions se lancera dans la création de nouveaux jeux de rôles. Mais pour l’instant, nous n’avons qu’un seul objectif : In Nomine Satanis / Magna Veritas… Alors, on prend sa pioche et on retourne sur le chantier ! Parce que c’est pas en baîllant aux corneilles ou en jouant à candy crush que nous allons sortir ce jeu !